11/09/2008


La galerie Lumière des Roses présente
L'album Rinaldi
une exposition de Bruno Rosier
du vendredi 10 octobre au dimanche 19 octobre 2008
15h-19h
vernissage vendredi 10 octobre
de 18h à 22h
L'installation de Bruno Rosier mixte et réinterprète une sélection de photographies de la collection de la galerie Lumière des Roses avec des éléments de son propre univers : textes, objets, photographies, cartes ou projection.
Elle reconstitue l'album de photos imaginaire d'un certain Santo Rinaldi, collectionneur fou de ces étranges pierres que sont les nuélithes.
L'exposition pose la question du hors-cadre, de la fabrication de la mémoire, de l'éternel trouble entre fiction et réalité, en prenant le minuscule et le vernaculaire comme matériel expérimental.
galerie Lumière des Roses
12-14 rue Jean Jacques Rousseau 93100 Montreuil
tel 01 48 70 02 02 - contact@lumieredesroses.com
Métros : Bérault (L 1), Robespierre (L 9), RER A Vincennes



L'album Rinaldi vu par Emmanuel Kraft

autoportrait de Lucio Rinaldi

" Celle-là, c'est celle de Lucio, Lucio Rinaldi, le grand-père. Pas japonaise, chinoise, mais sans doute ne l'a t-il pas su. Par contre ce qu'il a su, c'est comment il l'a obtenue, une toute autre histoire. C'est lui, là, dans l'atelier de Baronnat. Il n'est pas là comme élève, la peinture l'ennuie, il attend Eva Cinberg. Un modèle qui faisait le tour des ateliers et qui sera le sien pour ses débuts photographiques..."

Suite du commentaire d'Emmanuel Kraft...

09/09/2008

L'album Rinaldi vu par Nao Kimura

Nao Kimura à Kamakura

"... Le grand-père en possédait une. Une belle. Très belle même. Lucio Rinaldi. Il aurait voulu être peintre et pour ça fréquentait les ateliers d'artistes. Enfin il fréquentait surtout un modèle, qui posait d'ateliers en ateliers, Mlle Cinberg, qu'il finira par épouser.
Il monte un studio rue Lafayette, qui marche moyennement. Et il faut vivre, alors puisque la mode est orientaliste, Rinaldi se lance dans des reportages exotiques. Pas trop loin non plus, autour de la Méditerranée..."

Suite du commentaire de Nao Kimura...